Dans la nouvelle de Kafka, le motif de la peine est gravé, par celui qui est en même temps juge et bourreau, au plus profond de la chair du condamné par l’intermédiaire d’une machine infernale et très sophistiquée au moyen de stylets.
Une écriture terrible.
Peut-on y voir une certaine similitude dans ces toiles, dans ce qui constitue la « chair » de la peinture, soumise à des lacérations, écoulements, couleurs vives, écritures dessinées à la pointe d’un stylet, où le peintre est tout de même temps juge, bourreau et condamné, dans un jeu de miroir ?
Types manifestation : Culturelle
Catégorie : Exposition
Gratuit.
Du 25/03 au 14/04/2024, tous les jours.
Du lundi au vendredi 8h30-12h / 13h30-17h30. Samedi 13h30-17h30 et dimanche de 9h à 12h30.